Dans la lignée de The Raid, mais en beaucoup moins précis, moins épuré, moins radical, moins brillant, moins spectaculaire — et avec un argument social, filial et amoureux inutile. Le scénario n'a aucun intérêt mais la scène finale avec Olivier Gourmet, sanglante, osseuse et violente vaut le coup.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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