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vendredi 28 mars 2025

Alfred Hitchcock, Rebecca, 1940

La jeune mariée à Manderley souffre de la présence prégnante de l’ex-Mrs de Winter. Le récit commence comme une comédie romantique (un aristocrate fortuné s’éprend d’une jeune fille pauvre), se poursuit en film à présence fantomatique et s’achève en polar. Ce n’est pas mon Hitchcock préféré, le film est trop long — mais la réalisation, photographie, cadrage, ambiance du maître restent hors norme.


mercredi 17 février 2021

Alfred Hitchcock, I confess, 1953

Un confesseur devient une victime. Le lieu du tournage, Québec, est une singularité géographique dans la filmographie d’Hitchcock. La photographie est belle, les plans sont superbes, mais l’intrigue est ennuyeuse et la résolution finale décevante. Pourtant, même dans un film aussi mineur que celui-ci, il y a et comme toujours dans le cinéma d’Hitchcock, une ou plusieurs scènes remarquables qui, à elles seules, justifient le visionnage. Ici, trois séquences : le tout début, avec ses plans fixes sur la ville ; la fin, dans le restaurant (lorsqu’on sort de l’ambiance un peu terne du film) ; et cette scène dans le champ, où Anne Baxter et Montgomery Clift sont ensemble. Un film mineur d’Hitchcock mais immanquable.




 

Renoir, la grande illusion, 1937

Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...