John Matrix a 11 heures pour sauver sa fille des griffes du général Arius. Arnold Schwarzenegger traîne ici quelques expressions faciales tendues et approximatives, comme des résidus de son rôle de Terminator — mais mais équilibrées par que sa sculpturale beauté. Les seconds rôles — Bennett, en côte de maille improbable, et l’opportune Cindy — complètent la distribution de ce film aussi fluide que réjouissant dans son enchaînement narratif pourtant incongru. Très drôle, spectaculaire, Commando réussit l’exploit d’être à la fois parodique tout en prenant son registre d’action au sérieux.
Affichage des articles dont le libellé est Mark L. Lester. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Mark L. Lester. Afficher tous les articles
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Renoir, la grande illusion, 1937
Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...



