Il y a une certaine virtuosité technique dans les premières chorégraphies chantées du film, mais l’ensemble — le récit d’un double parcours (de l’homme vers la femme, et du mal vers la rédemption), l’amour filial plus fort que tout, la photographie qui atténue tout contraste à la manière de la dilution générique du récit — m’évoque plus une bouillie grise qu’un objet trans.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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