Un yakuza, qui vient de sortir de prison, s'éprend d'une femme dont on ne saura rien, qu'il fait pénétrer dans un cercle de jeu. La photographie, les plans, le noir et blanc (la ville, les tripots, la nuit), la musique sont de toute beauté. La violence y est extrêmement stylisée, très artificielle, affectée à l'image du film. Le récit est ténu, presque anecdotique. Un beau film de yakuza de la Nouvelle Vague japonaise.
Affichage des articles dont le libellé est Masahiro Shinoda. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Masahiro Shinoda. Afficher tous les articles
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
Dans un appartement désincarné, impersonnel, bourgeois. Un couple adopte un camarade de leur fils, orphelin . Issu d’un milieu populaire, i...