Il y a une tentative de faire se répondre et virevolter des motifs, débarrassés de toute progression : c’est la singularité de ce film, visuellement et rythmiquement riche — et sa limite : son piétinement, maniériste, fétichiste — et vain. Quelque part entre OSS 117 et Robbe-Grillet.
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Mizoguchi, Les amants crucifiés, 1954
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