La situation de départ et la structure alternée — un type du Routard teste des restaurants et hôtels, puis en fait le compte rendu à son patron, Christian Clavier (qu’on retrouve chaque fois dans une situation différente, dans des pastilles à la manière des Dupondt dans Le Temple du soleil) — sont amusantes, mais inexploitées. La suite vire très vite à une comédie d'aventure mal écrite.
Affichage des articles dont le libellé est Philippe Mechelen. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Philippe Mechelen. Afficher tous les articles
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Renoir, la grande illusion, 1937
Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...