On voit que le code Hayes est passé juste après. L’intrigue du film, amoureuse et sociale n’est pas passionnante, le message : il faut voir au-delà des préjugés. Mais sont insérés quatre morceaux de comédie musicale dont le dernier qui raconte les retours de la guerre est remarquable.
Affichage des articles dont le libellé est Busby Berkeley. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Busby Berkeley. Afficher tous les articles
mardi 14 février 2023
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Renoir, la grande illusion, 1937
Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...