On voit que le code Hayes après est passé juste. L’intrigue du film, amoureuse et sociale n’est pas passionnante, le message : il faut voir au-delà des préjugés. Mais sont insérés quatre morceaux de comédie musicale dont le dernier qui raconte les retours de la guerre est remarquable.
Affichage des articles dont le libellé est Busby Berkeley. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Busby Berkeley. Afficher tous les articles
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
Dans un appartement désincarné, impersonnel, bourgeois. Un couple adopte un camarade de leur fils, orphelin . Issu d’un milieu populaire, i...