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jeudi 22 juin 2023

Gérard Oury, La grande vadrouille, 1966

Une très grande comédie française : un film de route et un duo improbable que la guerre a réuni. C'est une certaine idée de la France. Le film enchaine les scènes marquantes : les bains turcs, la grange Batellière, la nuit à l’hôtel (qui est elle-même une succession de scènes parfaites : l’arrivée dans la ville, à l’hôtel, le plateau repas, l’inversion des lits), etc. La fin est sans doute la partie la moins réussie du film (à partir des chiens). Comment tracer un chemin dans une culture commune à partir de présupposés différents et d'un antagoniste ?

samedi 3 juin 2023

Gérard Oury, Le corniaud, 1965

Il y a dans Le corniaud, un road-movie parallèle entre Bourvil et de Funès, de Funès surveillant discrètement son convoyeur : cest à la fois la singularité et la limite et du film, que les deux grands acteurs ne jouent quasiment pas ensemble. Dans sa trame plus sociologique, Bourvil est un dragueur un peu fleur bleue qui fait du camping. Ce n’est pas aussi génial que La grande vadrouille, ce n’est pas aussi drôle mais la photographie est parfois remarquable.




mercredi 12 avril 2023

Gérard Oury, La vengeance du serpent à plumes, 1984

Le début du film avec Josiane Balasko, Luis Régo et Coluche est passable et Maruschka Detmers est très jolie. La fin (le volet aventure avec les terroristes) est complètement ratée, c’est distendu, ennuyeux. Comment le réalisateur de La grande vadrouille a-t-il pu faire ça ?

Star Wars : Skeleton Crew, 2024

Quatre enfants d'une banlieue pavillonnaire embarquent accidentellement dans un vaisseau qui les emmène loin de chez eux. Les voici donc...