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samedi 21 décembre 2024

Star Wars : Skeleton Crew, 2024

Quatre enfants d’une banlieue pavillonnaire découvrent un vaisseau spatial enfoui qui les propulse accidentellement à l’autre bout de la galaxie. Les voici donc tentant, tant bien que mal, de rentrer chez eux. Ils sont accompagnés dans leur quête par un pseudo-Jedi (Jude Law). Chaque épisode les confronte à une nouvelle planète et de nouveaux dangers. Le premier épisode évoque un fantasme de geek : un mash-up entre Star Wars et Les Goonies. La suite est une série enfantine, narrativement très simple, anecdotiquement plaisante.



mardi 17 décembre 2024

Silo, 2023

Dix mille humains vivent retranchés dans un silo, socialement stratifiés, observant le monde extérieur — toxique et désolé — à travers un unique hublot. Des reliques du monde d’avant circulent, certaines tolérées, d’autres interdites. La série débute comme une chasse au trésor claustrophobe, centrée sur l’exploration des profondeurs inconnues de la structure, avant de bifurquer vers une enquête policière et le dévoilement progressif d’un complot. La saison 2 articule plus nettement ces deux trames, mais c’est l’exploration des silos par Juliette Nichols (Rebecca Ferguson) qui demeure la plus captivante.



mercredi 13 novembre 2024

John Sherwood, The Monolith Monsters, 1957

Une série B de SF très typée année 50, une étrange pierre noire grossit au contact de l'eau et contamine ceux qui la touche, les pétrifiant. Quelques beaux plans de ces monstres monolithiques valent le coup d'œil sur ce film sympathique, mais ennuyeux, dépourvu de toute tension narrative.





jeudi 7 novembre 2024

Erle C. Kenton, Island of lost soul, 1932

Un film plastiquement sublime dans tout son prologue, à la fois dans sa photographie, et dans son montage, sur le bateau, sur le pont, aux abords de l'île, dans le brume, dans l'encadrement des rochers : chaque plan est une affirmation de cinéma :

Par la suite, quand le récit proprement dit commence, lorsqu'il s'agit de montrer les rapports entre les différentes formes d'humanité, la photographie est moins travaillée, les plans sont moins inspirés. L'intrigue tourne autour d'une romance impossible, brasse beaucoup en très peu de temps : modification génétique, sexualité, sauvagerie, domination, sadisme, croyances…

Le réalisateur, Erle C. Kenton a réalisé plusieurs Frankenstein, un Dracula et plusieurs Abbott et Costello, c'est à Karl Struss, directeur de la photographie et à Hans Dreier, directeur artistique, qu'on doit la beauté étrange de ce film : sa photographie et son maquillage. Un film inégal magnifique.













 



samedi 8 avril 2023

Eugène Lourié, The Beast from 20000 fathoms, 1953

Le film annonce Godzilla qui sortira l’année suivante. Il vaut surtout pour les séquences d’animation de Ray Harryhausen. La photographie est belle et la scène finale avec ce manège en maquette, le monstre dans les flammes qui réassigne les acteurs au sol à des soldats de plomb est magnifique.















 

Dragons, 2025

Il y a l’idée d’une réconciliation entre les especes et d’une réparation par les especes mais qui n’échappe malgré tout pas au massacre de l...