Le premier film de Josiane Balasko réalisatrice est traversé de quelques scènes poétiques (un cheval en ville qui s'enfuit, des enfants sur la plage), d'acteurs (dont Coluche) au service d'une représentation de l'échec social typique des années 80 (comme l'ont montré Michel Blanc avec Marche à l'ombre et Jugnot avec Une époque formidable) qui n'était pas pour autant le signe d'un désespoir absolu.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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