Il y a une exigence esthétique assez rare pour un film de science-fiction de type soap-opéra. Les séquences de chevauchement des vers dans le désert sont très belles. Je suis moins sensible aux scènes de péplum ultra-design.
Le récit ne s’embarrasse pas d’articulations — mais c’était déjà le cas dans le film de Lynch, peut-être est-ce lié au matériau d’origine.
Un objet très élégant, qui maintient toutefois le spectateur à distance.