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lundi 26 février 2024

André de Toth, Pitfall, 1948

Un agent d'assurance s'éprend d'une assurée frauduleuse. Une histoire d'amour, de jalousie, de désir, de routine. Un beau film linéaire noir avec la magnifique Lizabeth Scott.




jeudi 23 mars 2023

William A. Wellman, Yellow sky, 1948

Après un casse, des cow-boys pourchassés traversent un désert et débarquent dans une ville fantôme. La ville n'est pas tout à fait vide, une jeune femme et son grand-père, chercheurs d’or y ont établi résidence. Le film articule ces deux lieux : le désert plan (l'épreuve du soleil, de la soif) et son contrepoint architectural, angulaire (la ville fantôme mais dans lequel on trouve de l'eau, de l'or et une jeune fille). La caméra utilise l’intérieur de la maison comme axe et point de vue de manière presque domestique, comme un pivot. Un très grand western atypique, sur l'épreuve, le manque et le désir.

mercredi 8 mars 2023

Powell & Pressburger, The red shoes, 1948.

The red shoes est unanimement considéré comme un chef d’œuvre, et figure parmi « les plus grands films de tous les temps ». Visuellement, le film est de toute beauté, la photographie, l’éclairage, le travail sur la couleur, les décors, la mise en scène, les ballets sont extraordinaires. La réalisation est d’une grande finesse, l’interprétation d’Anton Walbrook est géniale, et l’ensemble baigne dans une certaine délicatesse.  Mais il manque, à mon goût, à ce grand ensemble chromatique très propre, très artificiel — dont le sujet est la réussite artistique et le choix (impossible) entre le sacrifice à l’œuvre et l’amour — une forme d’aspérité ou de décalage. C’est très beau, mais ce n'est pas passionnant. 




 

jeudi 19 janvier 2023

Charles Barton, Abbott And Costello Meet Frankenstein, 1948

Dans le même genre, j’ai préféré Abbott and Costello meet the invisible man. Abbott And Costello Meet Frankenstein est un film idiot, avec un scénario basique. Ce n’est pas d’une grande précision dans le slapstick (par rapport à Buster Keaton par exemple), ça bave beaucoup mais le mélange entre ces monstres archi connus et cet univers benêt est sympathique !

7⭐️

dimanche 6 juin 2021

John Farrow, The Big Clock, 1948

Un éditeur (Charles Laughton) assassine sa maitresse et cherche à faire accuser un autre homme, à qui il demande alors, journaliste dans son journal, d’enquêter. Le scénario n’est pas dément mais l’ambiance, le décor, l’horloge, l’ascenseur font de ce film un bon film noir, un bon policier sans policier, rapide, jamais ennuyeux. 

 

Star Wars : Skeleton Crew, 2024

Quatre enfants d'une banlieue pavillonnaire embarquent accidentellement dans un vaisseau qui les emmène loin de chez eux. Les voici donc...