Affichage des articles dont le libellé est Hitchcock. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Hitchcock. Afficher tous les articles

mercredi 1 janvier 2025

Hitchcock, Psychose, 1960

Les éléments horrifiques, dont je me souvenais et qui avaient été des éléments importants la première fois que j’ai vu Psychose, sont entièrement neutralisés à la deuxième séance. Ce qui m’a frappé désormais, c’est la précision et la justesse de la réalisation, le générique de Saul Bass, la musique de Bernard Herrmann, les deux acteurs principaux fascinants, la photographie, la tension constante, et cette composition étrange avec prologue et double enquête.

Un vrai chef-d’œuvre, pour le coup, prototypique — comme beaucoup de films d’Hitchcock, à la fois un immense réalisateur, prolixe, et inventeur de formes matricielles du cinéma.

mercredi 17 février 2021

Alfred Hitchcock, I confess, 1953

Un confesseur (tenu au secret) devient une victime. Le lieu du tournage : Québec, est une singularité géographique dans la filmographie d’Hitchcock. La photographie est belle, mais l’intrigue est ennuyeuse et la résolution finale décevante. Pourtant, même dans un film aussi mineur que celui-ci, il y a (comme toujours dans le cinéma d’Hitchcock), une ou plusieurs scènes remarquables qui, à elles seules, justifient le visionnage et suffiraient à faire d’Hitchcock un génie du cinéma. Ici, trois séquences : le tout début, avec ses plans fixes sur la ville ; la fin, dans le restaurant (lorsqu’on sort de l’ambiance un peu terne du film) ; et cette scène dans le champ, où Anne Baxter et Montgomery Clift sont ensemble. Un film mineur d’Hitchcock, et pourtant notable.




 

Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025

Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...