Il y avait sans doute l'espoir chez les amateurs de H que s'y rejoue quelque chose de cette époque là ou que la série emprunte à d'autres modèles, brillants comme The Office. Mais Terminal use d'une autre partition, outrancière, un peu nulle, avec rires qui soulignent les gags — qui évoque sans doute plus les sitcoms françaises des années 80 qui l'ont précédée comme Maguy et Marc et Sophie — et bêtisier dans le générique de fin (ce qui est presque toujours un aveu de ratage). Il y a une tentative lourde de ne rien rater des thèmes qui polarisent la société. Mais c'est surtout le défaut de précision technique qui rend la série difficile à regarder. Les épisodes avec Manu Payet (sorte de Todd Packer, moins vulgaire) sont les plus drôles.
Affichage des articles dont le libellé est Jamel Debbouze. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Jamel Debbouze. Afficher tous les articles
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Renoir, la grande illusion, 1937
Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...
