Affichage des articles dont le libellé est 1933. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est 1933. Afficher tous les articles

jeudi 25 juillet 2024

Michael Curtiz, The Kennel Murder Case, 1933

Un concours canin, un chien tué, puis un homme retrouvé mort dans sa chambre fermée. L’inspecteur enquête. La réalisation est fluide, brillante, vive mais la narration est confuse et le mystère de la chambre close est (beaucoup) moins intéressant que le processus qui mène à sa résolution.



jeudi 11 juillet 2024

William Wellman, Call of the Wild, 1934

Le chien Buck, rétif, est amadoué par un chercheur d'or et mis en tête d'attelage du traineau. Sa rencontre avec une louve l'éloigne des hommes.

William Wellman fait tout génialement, ici un magnifique film d'aventures dans le grand nord — qui parle de sauvage et de domestication —avec Clark Gable, Loretta Young et Jack Oakie. 



vendredi 31 mars 2023

Ernst Lubitsch, Design for living, 1933

L’histoire d’un ménage à trois. Le film est audacieux, lors de la scène finale la femme embrasse alternativement les deux hommes. Pour le reste c’est Lubitsch, c’est léger, un peu aérien, virevoltant parfois inventif, mais je ne suis peut-être pas sensible à sa virtuosité et à sa légereté.

dimanche 19 février 2023

Alfred E. Green, Baby face, 1933

Baby face (Barbara Stanwyck) travaille dans un bistrot minable tenu par son père. Un homme l’invite à lire Nietzsche, à sortir de ce milieu et à accéder à d’autres strates de la société. Elle part à New York, avec Chico, une employée noire. Elle trouve un emploi dans une banque dont elle monte peu à peu les échelons en utilisant graduellement les hommes et leur poste dans l’entreprise. L’utilisation de la sexualité comme moyen d’ascension sociale y est montrée frontalement. On peut y voir déjà une représentation de la sororité et légèrement ambiguë : Baby face ne ne sépare jamais de Chico, même quand les hommes le lui demandent mais Chico reste néanmoins toujours à sa place : une subalterne. Film direct sans fioriture, excellent à l’exception d’une fin qui sauve in extremis la morale. 






mercredi 15 février 2023

William A. Wellman, Héros à vendre, 1933

Un film très resserré qui commence dans les tranchées et qui se finit au moment de la crise de 29 et qui raconte l’histoire d’un type, dépossédé d’un fait d’arme par les événements, devenu dépendant à la morphine qui va s’en sortir, lancer la mécanisation d’une usine dont les propriétaires vont changer laissant tout le monde à la rue, sa femme meurt dans la foule, lui est condamné pour sédition et finit comme un hobo, c’est très dense, ça raconte dix années des États-Unis, c’est sec, rapide, sans fioriture. Encore un grand film de William Wellman.


mardi 14 février 2023

Mervyn LeRoy, Busby Berkeley, Gold digger of 1933, 1933

On voit que le code Hayes après est passé justeL’intrigue du film, amoureuse et sociale n’est pas passionnante, le message : il faut voir au-delà des préjugés. Mais sont insérés quatre morceaux de comédie musicale dont le dernier qui raconte les retours de la guerre est remarquable.

mercredi 8 février 2023

William A. Wellman, Wild Boys of the Road, 1933

Pendant la Grande Dépression, trois adolescents  traversent les États-Unis en train. Errance, misère, faim, viol, accident. Wild Boys of the Road est un film âpre et bouleversant, assez proche dans sa thématique et son traitement des Raisins de la colère : c'est-à-dire des films politiques mais traités comme de vrais films de genre (des road-movie).

Chef d’œuvre.

mercredi 11 janvier 2023

James Whale, The Invisible man, 1933

Quand il commence sa carrière cinématographique en 1930, James Whale a plus de 40 ans. Il  la termine en 1941 après avoir réalisé vingt et un films dont trois très grand films fantastiques, Frankenstein en 1931 et sa suite La Fiancée de Frankenstein en 1935 et cette adaptation du roman de Wells, The Invisible Man en 1933. Photographie, éclairage, effets spéciaux, scénario, mise en scène, décor en carton-pâte sous la neige, auberge, traque finale et encerclement de la grange mise à feu, efficacité de l’action, folie du protagoniste, tout y est parfait.

dimanche 14 août 2022

Karl Freund, Mad love, 1933

Le début est génial mais la deuxième partie se transforme en film d’horreur avec tous les clichés gothiques, est beaucoup moins intéressante.

 

Star Wars : Skeleton Crew, 2024

Quatre enfants d'une banlieue pavillonnaire embarquent accidentellement dans un vaisseau qui les emmène loin de chez eux. Les voici donc...