Le premier visionnage de la trilogie Pusher m’avait fait une très forte impression. À sa ressortie, le film a sans doute un peu perdu de sa force, un peu atténuée par le temps et les films de Refn qui ont suivi Le guerrier silencieux : sa période américaine qui me semble moins intéressante. Mais Pusher cauchemar d’une semaine témoigne d’une énergie, de la puissance de jeu de Kim Bodnia — qui n’a pas eu la carrière du très charismatique Mads Mikkelsen. requistoir contre la drogue ce drogue de dealer
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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