jeudi 6 mai 2021

Seijun Suzuki, La jeunesse de la bête, 1963

On se perd parfois dans les personnages et dans l’intrigue, pourtant assez basique, de ce film : un type cherche à retrouver le meurtrier d’un de ses amis et infiltre le milieu des yakuzas. C’est d’une très grande inventivité plastique : les cadrages, les plans, le ton général du film, les couleurs, la musique, les intérieurs très 60s et très pop, et le visage extraordinaire de Jo Shishido. C’est une merveille singulière.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Quentin Dupieux, L’accident de piano, 2025

 Assez désespéré,