Le début du film est prometteur, un condensé avant l’action, un film dans le film : la constitution de l’équipe. Mais par la suite, les personnages sont insuffisamment typés, ils sont tous quasiment interchangeables, et l’intrigue n’en fait pas grand-chose. Les alphas ne servent à rien, sauf à ajouter de la laideur et de la sauvagerie humaine inutile, et la relation père-fille est dénuée d'intérêt. Dommage, c’est bien réalisé, les décors sont beaux (les ruines du capitalisme), mais ça reste un gros film de zombies ennuyeux.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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