Un ancien dealer, dont le partenaire a été tué sous ses yeux par un flic, se retrouve à jouer dans le tout premier film d’action gazaoui. Il recroise le policier meurtrier, le tue à son tour, puis est lui-même abattu sur le tournage : les armes n’étant pas chargées à blanc. Il y a un côté un peu miteux qui retranscrit sans doute le quotidien désespéré de la ville assiégée. Pour le reste, ce film de genre, étriqué, est désespérément dépourvu de toute tension. Prix de la mise en scène - Un Certain Regard 2025 : c’est un acte de résistance qui est salué, pas une grammaire filmique.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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