Dans une zone déserte de Finlande, un chercheur d’or mutique et solitaire, accompagné seulement d’un chien, se fait braquer par un escadron de nazis convoyant des prisonnières. Les paysages, la photographie et la lumière sont très beaux, très belles. L’acteur évoque dans son dolorisme chrétien et sa nature surhumaine à la fois Jésus dans les étapes de son chemin de croix (crucifixion, mort, élévation, chute, etc.) et Rambo pour la traque, à la manière d'une bande dessinée. Sisu emprunte à plusieurs genres : le film de survie, de revanche, de route, le film post-apocalyptique, la nazisploitation, etc. mais tout en parvenant à avancer de façon mono-directionnelle, sans écart. C'est une sorte de post-Tarantino, peut-être plus intéressant que Tarantino lui-même désormais.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
Dans un appartement désincarné, impersonnel, bourgeois. Un couple adopte un camarade de leur fils, orphelin . Issu d’un milieu populaire, i...

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire