Le film par sa lecture littérale du personnage, slip taché et couilles qui dépassent, échoue à adapter la bande dessinée de Reiser. L’écriture est un peu paresseuse, les gags ne sont pas drôles, il y a un problème de rythme mais pour autant le film n’est pas complètement raté. Maurice Risch, dans ce rôle si ingrat, s'en sort avec une certaine élégance, il y a un discours sur l’exclusion sociale, des plans documentaires étranges sur un marché ou dans un magasin de lingerie. Une sorte de film franchouillard, un peu crade et qui emprunte en même temps à cette esthétique publicitaire ou de ce qu'on a appelé le cinéma du look. Un drôle de mélange.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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