Court-métrage distendu en long. Le seul intérêt de ce type de film est de voir comment le coupable va réussir à dissimuler son forfait. Mais on est bien loin d’Hitchcock : le scénario est consternant, et il n’y a pas une seule idée de cinéma. Faute d’astuce scénaristique, le réalisateur n’a recours qu’à deux procédés : l’étirement infini des scènes et la condamnation de la pièce suspecte. Lorsque la comédie noire patine, il fait basculer son film vers la tragédie. Narrativement paresseux, plastiquement affreux, La table basse échoue entièrement. Et ce, en dépit d’une situation de départ amusante et embarrassante (la table basse et la gamine) et d’une scène inaugurale prometteuse.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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