Les dix premières minutes sont géniales : un couple dans un train, un homme qui partage leur wagon, une voiture qu’ils partagent à nouveau, un accident, une maison. L’introduction est parfaite dans son ambiance et son rythme, mais la suite du scénario accumule des motifs (chat noir, momie, secte, sacrifice, torture, domestiques étranges, cave gothique, etc.) qui évoque plus un catalogue qu'un scénario construit. Mais pour ses dix premières minutes, sa photographie, sa maison incroyable et son escalier en colimaçon, pour la coiffure verticale de Lucille Lund et la coiffure étrange du domestique interprété par Egon Brecher, pour Karloff et Lugosi, pour ses décors, son ambiance, le film vaut absolument d'être vu.
lundi 20 mars 2023
Edgar Georg Ulmer, Ulmer, The Black cat, 1934
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
James Hawes, Amateur, 2025
Un cryptographe du FBI entreprend de traquer et de tuer les assasssins de sa femme. Sans originalité mais bien réalisé et prenant de bout en...
-
Réalisé par Patrick McGoohan, dont c'est là la quatrième participation à un épisode de Columbo, et qui interprète aussi le rôle d'Er...
-
Soixante-neuvième épisode de Columbo Les tueurs sont trop jeunes et le meurtre initial trop accidentel pour qu'on y développe l'anti...
-
Un très long fade-out, de l'euphorie à la remise en place sociale amère d'une jeune strip-teaseuse dont s’est épris un jeune garçon ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire