Les dix premières minutes sont géniales : un couple dans un train, un homme qui partage leur wagon, une voiture qu’ils partagent à nouveau, un accident, une maison. L’introduction est parfaite dans son ambiance et son rythme, mais la suite du scénario accumule des motifs (chat noir, momie, secte, sacrifice, torture, domestiques étranges, cave gothique, etc.) qui évoque plus un catalogue qu'un scénario construit. Mais pour ses dix premières minutes, sa photographie, sa maison incroyable et son escalier en colimaçon, pour la coiffure verticale de Lucille Lund et la coiffure étrange du domestique interprété par Egon Brecher, pour Karloff et Lugosi, pour ses décors, son ambiance, le film vaut absolument d'être vu.
lundi 20 mars 2023
Edgar Georg Ulmer, Ulmer, The Black cat, 1934
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Isao Takahata, Pompoko, 1994
Les tanukis luttent contre les humains. Un conte transformiste lucide sur l’incontrôlable expansion anthropique au détriment de toutes les a...
-
Réalisé par Patrick McGoohan — qui signe ici sa quatrième participation à un épisode de Columbo et incarne également le rôle d’Eric Prince...
-
Soixante-neuvième épisode de Columbo Les tueurs sont trop jeunes et le meurtre initial trop accidentel pour qu'on y développe l'anti...
-
Un très long fade-out : de l’euphorie à la remise en place sociale amère d’une jeune strip-teaseuse dont s’éprend un jeune garçon favorisé. ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire