Une cantine à Taïwan, tenue par un couple et leur fils adoptif muet, qui traîne avec des malfrats. Le film développe trois intrigues : familiale, mafieuse et amoureuse. Les deux premières sont bien entremêlées ; la troisième, accessoire, reste en retrait. Les images sont belles, le début est très réussi, mais l’ensemble est trop long.
Affichage des articles dont le libellé est KEFF. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est KEFF. Afficher tous les articles
mercredi 30 juillet 2025
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Renoir, la grande illusion, 1937
Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...