Le premier visionnage de la trilogie Pusher m’avait fait une très forte impression. À sa ressortie, le film a sans doute un peu perdu de sa force, un peu atténuée par le temps et les films de Refn qui ont suivi Le guerrier silencieux : sa période américaine qui me semble moins intéressante. Mais Pusher cauchemar d’une semaine témoigne d’une énergie, de la puissance de jeu de Kim Bodnia — qui n’a pas eu la carrière du très charismatique Mads Mikkelsen. requistoir contre la drogue ce drogue de dealer
Affichage des articles dont le libellé est REFN. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est REFN. Afficher tous les articles
mardi 22 juillet 2025
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
Dans un appartement désincarné, impersonnel, bourgeois. Un couple adopte un camarade de leur fils, orphelin . Issu d’un milieu populaire, i...