La station-service-restaurant isolée, motif de la mythologie américaine. Archie Mayo en avait fait un très beau film, La forêt pétrifiée — celui-ci en constitue une sorte de remake, dont il reproduit aussi le défaut de construction : situation captivante et résolution bâclée. Ce qui est mis en place, dans ses personnages (la restauratrice, le représentant, les bandits, le couple, etc.) n'est pas vraiment exploité — ce sont des figures, presque interchangeables. Le film n'est pas déplaisant mais, ses auspices post-Tarentino, laissait présager autre chose qu’une petite série B.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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