Trois contes maniéristes évoquant Méliès, Chaplin, et dont la bande-annonce semblait convoquer Karel Zeman. J’ai eu du mal à en saisir l’enjeu. Le résultat est un ensemble imprécis, mal rythmé — peut-être simplement un travail de jeunesse de Juho Kuosmanen, l’auteur du très bon Compartiment n°6.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Refn, Pusher
Le premier visionnage de la trilogie Pusher m’avait fait une forte impression. À sa ressortie, le film a sans doute un peu perdu de sa force...
-
Importance de la famille biologique, de l’affirmation de soi, du renoncement aux codes sociaux pour le bien-être de ses enfants : ce conte e...
-
Portrait de quelques femmes affirmées dans un conte qui revisite Cendrillon, par le body-horror. Cruel à tous points de vue (celui du corps ...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire