Le film articule plusieurs trames : la conquête dictatoriale, la prédation anthropique et la réduplication des corps serviables — la chair à canon. C’est trop long, un peu burlesque. La trame des remplaçables n’exploite presque rien de cette idée, et la prédation anthropique est réduite à une caricature.
Film de science-fiction burlesque, singulier mais décevant, très loin de Okja, Memories of Murder et Parasite.
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