Un film très resserré qui commence dans les tranchées et qui se finit au moment de la crise de 29 et qui raconte l’histoire d’un type, dépossédé d’un fait d’arme par les événements, devenu dépendant à la morphine qui va s’en sortir, lancer la mécanisation d’une usine dont les propriétaires vont changer laissant tout le monde à la rue, sa femme meurt dans la foule, lui est condamné pour sédition et finit comme un hobo, c’est très dense, ça raconte dix années des États-Unis, c’est sec, rapide, sans fioriture. Encore un grand film de William Wellman.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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