Le film souffre d'une pauvreté narrative désarçonnante pour un projet de cette envergure. Zack Snyder n’a rien à raconter. Mais la photographie est souvent magnifique, à nouveau, comme dans le premier volet, surtout dans les vols des vaisseaux et leurs fumées et dans la belle scène de combat apocalyptique finale — le début du film se tenant à l'évocation lumineuse et douce d'un ranch amish.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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