Une femme s'invente un lien avec l'attentat du Bataclan et participe à la création d'une association de victimes. La série est un peu longue, alors qu'elle donne l'impression de survoler à la fois la psychologie de cette femme et la manière dont ses arnaques sont mises en place. Les personnages satellites en dispersent encore un peu plus le propos. Il y a dans cette combinaison qui tient à la fois du témoignage d'un drame récent et d'une fiction de genre (l'usurpateur, le mythomane — comme cela a été traité dans L'adversaire et L'emploi du temps) — un hiatus inhibant leur articulation.
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