C’est l’histoire d’un alcoolique, qui veut assurer son rang social par sa générosité et qui se retrouve ruiné ; c’est une histoire d’alcool, de l’intrusion de la modernité, de rythmes et de sons différents (ceux des machines à coudre) à la campagne, c’est un film sur ce que détruit la technologie. Les passages chantés des femmes qui racontent l’histoire de monsieur Shôsuke Ohara sont magnifiques. C’est un beau film triste et drôle, sur un fil un peu ténu, qui parvient à ne jamais être vraiment désespéré.
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Jean Renoir, Les bas fonds, 1936
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