lundi 14 juin 2021

Marcel Carné, Les portes de la nuit, 1946

Le scénario de Prévert a très peu d’intérêt, le personnage du destin est ridicule, Yves Montand et Nathalie Nattier jouent vraiment mal. Mais les décors sont beaux, la photographie est belle, il y a des très belles images de Paris juste à l’après-guerre (Montmartre, la Rotonde, le bassin de la villette, Jaurès, au tout début du film), les chansons de Kosma et Prévert et une certaine ambiance.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

L’épreuve du feu

Un été, une île, un jeune bourgeois qui y a une maison de famille et des amis du passé, et sa petite amie « blonde à forte poitrine, une cag...