Un film d’horreur pré-code qui vaut surtout pour son début : chutes de pierre, ambiance gothique, manoir lugubre, routes coupées. La suite c’est un vaudeville d’horreur, quasiment sans scénario. La photographie, le décor et l'ambiance sont remarquables et les jambes dénudées de Gloria Stuart signent le pré-code. Mais on est très loin des autres films fantastiques de James Whale réalisés entre 31 et 35 : Frankenstein, La fiancée de Frankenstein et L'homme invisible — qui eux sont des chefs d'œuvre.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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