La vie partiellement tragique d’un homme, racontée en trois chapitres dans l’ordre inverse de leur chronologie. L’enjeu d’un tel film et les critiques dithyrambiques qu’il a suscitées laissent sans voix. Ce qu’il dit : la vie de chacun est un univers en soi ; la mort n’efface pas les répercussions que l’on a eues sur les autres de son vivant ; choisis un métier rationnel, mais ta passion — transmise par ta grand-mère — ressurgira comme une madeleine au soir de ta vie.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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