Fresque sur la réhabilitation d’un architecte hongrois, émigré après la guerre aux États-Unis. Le film est ample et ambitieux, mais on peut lui trouver une emphase thématique (judaïsme, religion, architecture, Shoah, immigration, drogue, humiliation sociale, handicap, etc.), musicale (ses cuivres pompeux que semble dédouaner par anticipation la dédicace du film à Scott Walker) et une application scénaristique scolaire (morphologie du récit de réhabilitation) — depuis son « ouverture » en passant par son basculement souterrain et son épilogue raté. Une scène est très belle (la carrière de marbre).
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
James Hawes, Amateur, 2025
Un cryptographe du FBI entreprend de traquer et de tuer les assasssins de sa femme. Sans originalité mais bien réalisé et prenant de bout en...
-
Réalisé par Patrick McGoohan, dont c'est là la quatrième participation à un épisode de Columbo, et qui interprète aussi le rôle d'Er...
-
Soixante-neuvième épisode de Columbo Les tueurs sont trop jeunes et le meurtre initial trop accidentel pour qu'on y développe l'anti...
-
Un très long fade-out, de l'euphorie à la remise en place sociale amère d'une jeune strip-teaseuse dont s’est épris un jeune garçon ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire