Le tournage d’un film, une malédiction d’acteurs tués, une sitcom avec des lapins anthropomorphes et des rires enregistrés qui soulignent des blagues sans blague. Inland Empire est le long métrage le plus labyrinthique de Lynch, un film désaxé soutenu par quelques trames narratives. Hermétique, ponctué de fulgurances poétiques, presque abstrait. Très proche de Lost Highway et de Mulholland Drive dont il constitue une version dont on aurait poussé le curseur de la déconstruction un peu plus loin. Chant du cygne cinématographique logique de Lynch.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Rumours, 2025
Entre le conte fantastique et le faux récit allégorique, cet étrange film brumeux ne ressemble pas à grand chose d’autre : les membres du G7...
-
Réalisé par Patrick McGoohan, dont c'est là la quatrième participation à un épisode de Columbo, et qui interprète aussi le rôle d'Er...
-
Soixante-neuvième épisode de Columbo Les tueurs sont trop jeunes et le meurtre initial trop accidentel pour qu'on y développe l'anti...
-
Un très long fade-out, de l'euphorie à la remise en place sociale amère d'une jeune strip-teaseuse dont s’est épris un jeune garçon ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire