À partir des minutes du procès de Jeanne d’Arc. Le début sur les gros plans de visages, convoque des moments de l’histoire de la peinture — de Bruegel aux dessins de procès de sorcellerie de Victor Hugo. Avec un usage du décor, théâtral, quasiment abstrait et quelques plans pour l'ancrer dans un environnement réaliste. Le film fait un usage presque systématique de la contre-plongée comme pour restituer aux spectateurs la vision (yeux ostensiblement levés vers le ciel) de Jeanne d'Arc. La fin dans sa construction de plans alternés, oiseaux, château, foule, feu est de toute beauté. Chris Marker l'a qualifié de plus beau film du monde. Muet et silencieux.
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