dimanche 9 février 2025

Jacques Audiard, Emilia Perez, 2024

Il y a une certaine virtuosité technique dans les premières chorégraphies chantées du film, mais l’ensemble — le récit d’un double parcours (de l’homme vers la femme, et du mal vers la rédemption), l’amour filial plus fort que tout, la photographie qui atténue tout contraste à la manière de la dilution générique du récit — m’évoque plus une bouillie grise qu’un objet trans.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

One upon a time in Gaza, 2025

Un ancien dealer dont le partenaire a été tue sous ses yeux par un flic devient acteur pour le premier film d’action gazaoui. Il décroise le...