mercredi 8 octobre 2025
Richard Linklater, Nouvelle vague, 2025
William Friedkin, French connection, 1971
mardi 7 octobre 2025
Jafar Panahi, Un simple accident, 2025
dimanche 5 octobre 2025
Neo Sora, Happyend, 2025
Un Japon légèrement futuriste, un peu plus sous contrôle, un lycée et une esquisse de révolte. Film sur l'adolescence et le passage à l'âge adulte, dont certaines scènes sont assez réussies, mais l'ensemble un peu plat manque d’aspérité.
samedi 4 octobre 2025
Francis Lawrence, Marche ou crève, 2025
vendredi 3 octobre 2025
James Cameron, Avatar : La Voie de l'eau, 2022
jeudi 2 octobre 2025
Radu Jude, Kontinental 25, 2025
Une huissière de justice et un sdf delogé — qui se suicide lors de l'intervention. Son mari et ses enfants qui partent en Grèce, elle se retrouve seule avec sa culpabilité et quelques rendez-vous : une amie, sa mère, un ancien élève, un prêtre. Le dispositif : des plans fixes filmes à l’iPhone 15, un aspect brut. Une comédie sans fioriture, assez réussie.
John M. Stahl, Péché mortel (Leave her to Leaven), 1945
L’amour d’Helen pour Richard est exclusif. Reclus dans un ranch, son dessein se dévoile peu à peu. Décor de western, filmé dans un Technicolor magnifique, un beau mélodrame doux et vénéneux.
mercredi 1 octobre 2025
Johan Grimonprez, Bande-son pour un coup d’état, 2025
mardi 30 septembre 2025
Joachim Trier, Sentimental value, 2025
dimanche 28 septembre 2025
Paul Thomas Anderson, Une bataille après l’autre, 2025
Kenji Misumi, La lame diabolique, 1965
Hanpei, un vassal fils d’une femme et dit-on d’un chien, travaille pour un seigneur, il est jardinier, il fait pousser des fleurs. De son origine, il tire une grande vitesse. Il tue des espions dans des combats dont, les les coups portés, ce sont les conventions du genre sont toujours à côté. Un chambara de série b, un peu dispersé dans son récit, beaucoup moins captivant que les deux autres films de Misumi présentés.
samedi 27 septembre 2025
Darren Aronofsky, Pris au piège, 2025
Kenji Misumi, Le sabre, 1964
vendredi 26 septembre 2025
Lucile Hadžihalilović, La tour de glace, 2025
Kenji Misumi, 斬る, Kiru (Tuer !), 1962
Un samouraï aux origines tragiques voit les femmes qu’il devait protéger mourir, il se met au service d’un shogun. Chambara de série b, au scénario (de Kaneto Shindō) extrêmement simple. Tuer ! trouve un ton très juste, entre le comique un peu involontaire (la botte secrète, les combats et les coups jamais portés) et une très grande élégance formelle.
jeudi 25 septembre 2025
Pierre Schoeller, Rembrandt, 2025
Une ingénieure en nucléaire a une révélation devant un tableau de Rembrandt et se mue en lanceuse d’alerte : « attention, il peut y avoir un emballemenf climatique qui produirait un emballement nucléaire ». Incomprise, elle s’éloigne du monde. Les acteurs sont assez bons, la photographie est belle, mais la révélation est si ridicule qu'elle n’est pas à la hauteur de ce qu’elle suscite (donc du film), quand aux tableaux de Rembrandt, déclencheurs, ils sont greffés artificiellement sur le récit, lui conférant une fausse profondeur. Une belle forme parfois appuyée (notamment dans sa musique) pour un propos neuneneu.
mercredi 24 septembre 2025
Yann Gozlan, Dalloway, 2025
mardi 23 septembre 2025
Akira Kurosawa, Chien enragé, 1949
lundi 22 septembre 2025
Gregg Araki, The Doom Generation, 1995
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à restituer l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de faiblesses techniques dans la mise en scèn...
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Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
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