Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scène, les cadrages, les prises de vue, la direction d’acteurs, —il y a quelque chose de très plan-plan, presque amateur, dans la réalisation — ce qui est étonnant c'est que les deux Astérix réalisés par Astier ne souffrent pas de ces défauts. Par ailleurs, certains arcs narratifs, celui de Lancelot en particulier, n’ont aucun intérêt et, au-delà, questionnent la pertinence de recourir à ce type d’effets spéciaux ici, artificiellement artificiel. Plus généralement, il y a une difficulté à faire cohabiter des registres différents : humour télévisuel, quête, drame. Cela dit, si l’on va au delà de la première heure laborieuse, on peut, peu à peu, se laisser prendre à son rythme bizarre.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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