Hanpei, un vassal fils d’une femme et dit-on d’un chien, travaille pour un seigneur, il est jardinier, il fait pousser des fleurs. De son origine, il tire une grande vitesse. Il tue des espions dans des combats dont, les les coups portés, ce sont les conventions du genre sont toujours à côté. Un chambara de série b, un peu dispersé dans son récit, beaucoup moins captivant que les deux autres films de Misumi présentés.
Affichage des articles dont le libellé est Kenji Misumi. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Kenji Misumi. Afficher tous les articles
dimanche 28 septembre 2025
samedi 27 septembre 2025
Kenji Misumi, Le sabre, 1964
Un dojo, un maître, des élèves, un entraînement. Dévotion, ascèse, honneur, culpabilité. Le film traite de de la psyché japonaise et de l’américanisation de la société par l’utilisation d’éléments du cinéma pop américain. Un très beau film qui mérite une autre place dans l’histoire du cinéma.
vendredi 26 septembre 2025
Kenji Misumi, 斬る, Kiru (Tuer !), 1962
Un samouraï aux origines tragiques voit les femmes qu’il devait protéger mourir, il se met au service d’un shogun. Chambara de série b, au scénario (de Kaneto Shindō) extrêmement simple. Tuer ! trouve un ton très juste, entre le comique un peu involontaire (la botte secrète, les combats et les coups jamais portés) et une très grande élégance formelle.
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
Dans un appartement désincarné, impersonnel, bourgeois. Un couple adopte un camarade de leur fils, orphelin . Issu d’un milieu populaire, i...