samedi 27 septembre 2025

Kenji Misumi, Le sabre, 1964

Un dojo, un maître, des élèves, un entraînement. Dévotion, ascèse, honneur, culpabilité. Le film traite de la psyché japonaise et de l’américanisation de la société, par l’utilisation d’éléments du cinéma pop américain. Un très beau film qui mérite une autre place dans l’histoire du cinéma.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Renoir, la grande illusion, 1937

Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...