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jeudi 23 octobre 2025

Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025

Le film ne parvient pas à créer l’ampleur, le caractère épique qu’une telle aventure requiert.

Plus généralement il soufre de faiblesses techniques dans : sa mise en scène, ses cadrages, ses prises de vue et sa direction d’acteurs.

Par ailleurs, certains arcs narratifs — celui de Lancelot en particulier — n’ont aucun intérêt et interrogent la pertinence du recours à ce type d’effets spéciaux (ce budget) dans un tel cadre.

Le film peine à faire cohabiter ses registres hétérogènes : scènettes comiques d’inspiration télévisuelle, quête, drame, mythe.

Une forme d’amateurisme dans la réalisation. Astier est un réalisateur de sketchs télé, pas de cinéma (ou de dessinés animés, ses deux Astérix ne présentaient pas ces défauts).

Cela dit, passée la première heure laborieuse, éprouvante, gênante, on peut, peu à peu, se laisser prendre au rythme étrange de ce navet.

Renoir, la grande illusion, 1937

Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...