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lundi 22 septembre 2025
Gregg Araki, The Doom Generation, 1995
Voyage dans la nuit d’un couple qui embarque avec lui un troisième larron. Le début du film semble, avec son hétérogénéité très cartoonesque, promettre une certaine énergie, un peu grotesque, et une forme de cartographie de l'adolescence : sexe, drogue, rock’n roll et junk food. Mais ce road-movie queer revendiqué abandonne en cours de route ses quelques amorces pour s’achever dans un plan à trois avorté et punitif. The Doom Generation est au final un film fainéant, mal écrit et bien dans les clous.
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