Le film est un peu laborieux, mais le titre anti-wittgensteinien et le dispositif, presque expérimental (un lieu unique : des toilettes publiques creusées à tour de rôle par les mêmes personnages sous différents déguisements) en font une curiosité. Les trois acteurs principaux, Blier, Lefebvre et Serrault sont en roue libre. L'idée du film est créditée à Clavier, Jugnot et Lhermitte qu'on entrevoit dans le film. Il y a un côté bon enfant et un passage de relai entre deux générations.
Affichage des articles dont le libellé est C’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule…. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est C’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule…. Afficher tous les articles
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Jalmari Helander, Sisu 2, 2025
Sisu 2 perd un peu en linéarité avec sa structure en deux temps, et son personnage mutique délègue en partie les coups et les sursauts à des...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...