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dimanche 19 octobre 2025
Radu Jude, Dracula, 2025
Variations, suite de sketchs, autour de la figure de Dracula, et de l’empalement, du godemiché et du pénis. Une partie des séquences sont des films de genre assez kitsch et bas de gamme dans leur production (tous les effets spéciaux « spectaculaires » sont confiés à l’IA). Certains segments se rattachent au forceps à l’ensemble, et sans proposer quelque chose de vraiment décalé. Le film dure presque trois heures : c’est parfois lourd, navrant, décousu mais, comme toujours chez Radu Jude, c’est un cinéma stimulant, qui donne envie de faire des films.
dimanche 24 août 2025
Luc Besson, Dracula, 2025
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le film saborde systématiquement ses idées et est incapable de susciter la moindre émotion. Qu’est-ce que Besson a bien voulu faire ?
Subway, son meilleur film, articulait une histoire très simple (un type veut monter un groupe de rock), un univers singulier (une société à part composée de marginaux et de représentants de l’ordre), un lieu étrange (le métro), un casting hors-norme : en quelque sorte du Mocky, avec un scénario enfantin, filmé et réalisé avec une certaine vitesse et une forme clinquante (ce que les américains ont appelé le cinéma du look). Il avait trouvé sa formule, qu’il a sacrifié pour viser un cinéma international, il aurait dû la garder.
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