Classique du cinéma coréen et matrice de Parasites. Un couple embauche une servante pour les aider et qui va peu à peu se substituer à la femme et tuer tout le monde. La photographie, les plans, la musique sont magnifiques, le film est un peu hystérique mais c'est très beau, singulier, audacieux et dévastateur.
Affichage des articles dont le libellé est La servante. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est La servante. Afficher tous les articles
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Jean Renoir, Les bas fonds, 1936
Adapté d’une pièce de Gorki (qui venait de mourir) — et dont Kurosawa fera, vingt ans plus tard, lui aussi une adaptation. On peut se demand...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...