Mélodrame, un déserteur à la frontière s’éprend d’une jeune fille. Toute la séquence inaugurale (la première demi-heure) justifie à elle seule le destin du film : décor (Alexandre Trauner), photographie (Eugen Schüfftan), musique (Maurice Jaubert), atmosphère, personnages, acteurs — jusqu’au ciré (Chanel) de Michèle Morgan ; tout est magnifique et le film aurait pu s’arrêter là. Si par la suite les différentes intrigues s’imbriquent assez bien et justifient les personnages, elles n’ont pas le même intérêt, et certaines scènes sont techniquement et visuellement plus faibles ; le film fonctionne plutôt par fragments épars plus que comme un tout, mais sans que cela ne l’entache.
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Marcel Carné, Le quai des brumes, 1938
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